par Ariste
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Ariste : Un homme-enfant rêve de battre le plus fort alors que
le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur sur ce thème ici
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Des rouages bien huilés !
Une espèce avancée pourrait être amenée à orienter l’essentiel de ses forces vers la préservation d’une valeur-phare jugée à tort ou à raison fondamentale pour sa survie. Tous les rouages de la civilisation seraient finalement conçus en fonction de cette exigence.
L'espèce ne pourrait alors survivre que si cette valeur-phare est réellement porteuse de paix. Tous les rouages devraient être bien huilés, ne laissant en définitive aucune place pour des affrontements fratricides. Chacun devrait démontrer en permanence son allégeance au système de valeurs adopté par l'espèce dans sa politique globale.
Cette communion autour d’une valeur-phare relève-t-elle de la fiction ou d'une forme de totalitarisme ? L'homme a pourtant fait ce choix. Mais sa valeur-phare n'étant pas porteuse de paix, elle pourrait lui être fatale.
Une communion avec le capital.
Comme le drogué dépendant de sa drogue, l'homme est devenu dépendant du capital ! Traditionnellement porteur de guerre, le capitalisme devenu planétaire et totalitaire réalise en effet une communion de l’espèce pour le pire. Par le contrôle des moindres rouages de notre civilisation, ce système lie le sort de l’humanité au sien, devenant de facto la principale valeur-phare et le moteur de l’espèce. Comme l’échec du socialisme l’a montré, aucun pays ne pourrait échapper à son emprise et une démonstration d’allégeance au marché est aujourd’hui exigée de toutes les forces de la planète et des individus. Les rouages du capital l'exigent : les récalcitrants doivent se laisser entraîner ou être broyés.
Les derniers soubresauts de Cuba ou d’autres îlots de résistance montrent qu’un refus d’allégeance au capitalisme n’est presque plus envisageable. Les trafiquants de drogue ne pourraient laisser des marchés inexploités !
L’homme aurait-il donc décidé de vivre ou de mourir pour le capital ? Le drogué le plus intoxiqué peut pourtant se libérer s’il le veut vraiment !
L’argent acquis par presque tous les moyens devient cependant plus que jamais la principale valeur-phare de l’homme, la mesure des autres valeurs classées comme des exigences démesurées pour la majorité des hommes. L’essentiel des énergies de la planète est consacré à l’enrichissement personnel d’une minorité de privilégiés insatiables.
Une autre allégeance.
Des êtres capables de voyages cosmiques intègreraient notre planète à leur écosystème interstellaire et exigeraient légitimement une allégeance de l’homme à leur propre valeur-phare. Serait-elle meilleure que la nôtre ? Elle leur aurait en tous cas permis de survivre jusqu’à un stade plus avancé de milliers ou de millions d’années !
Un capitalisme prédateur.
Selon toute vraisemblance, un capitalisme porteur de violence ne permettra pas cette performance. L’homme devrait donc se préparer à accepter une allégeance cosmique, en se donnant par exemple une valeur-phare de survie qui lui permettrait de porter sa flamme de transcendance le plus loin possible dans l’univers.
L'espèce ne pourrait alors survivre que si cette valeur-phare est réellement porteuse de paix. Tous les rouages devraient être bien huilés, ne laissant en définitive aucune place pour des affrontements fratricides. Chacun devrait démontrer en permanence son allégeance au système de valeurs adopté par l'espèce dans sa politique globale.
Cette communion autour d’une valeur-phare relève-t-elle de la fiction ou d'une forme de totalitarisme ? L'homme a pourtant fait ce choix. Mais sa valeur-phare n'étant pas porteuse de paix, elle pourrait lui être fatale.
Une communion avec le capital.
Comme le drogué dépendant de sa drogue, l'homme est devenu dépendant du capital ! Traditionnellement porteur de guerre, le capitalisme devenu planétaire et totalitaire réalise en effet une communion de l’espèce pour le pire. Par le contrôle des moindres rouages de notre civilisation, ce système lie le sort de l’humanité au sien, devenant de facto la principale valeur-phare et le moteur de l’espèce. Comme l’échec du socialisme l’a montré, aucun pays ne pourrait échapper à son emprise et une démonstration d’allégeance au marché est aujourd’hui exigée de toutes les forces de la planète et des individus. Les rouages du capital l'exigent : les récalcitrants doivent se laisser entraîner ou être broyés.
Les derniers soubresauts de Cuba ou d’autres îlots de résistance montrent qu’un refus d’allégeance au capitalisme n’est presque plus envisageable. Les trafiquants de drogue ne pourraient laisser des marchés inexploités !
L’homme aurait-il donc décidé de vivre ou de mourir pour le capital ? Le drogué le plus intoxiqué peut pourtant se libérer s’il le veut vraiment !
L’argent acquis par presque tous les moyens devient cependant plus que jamais la principale valeur-phare de l’homme, la mesure des autres valeurs classées comme des exigences démesurées pour la majorité des hommes. L’essentiel des énergies de la planète est consacré à l’enrichissement personnel d’une minorité de privilégiés insatiables.
Une autre allégeance.
Des êtres capables de voyages cosmiques intègreraient notre planète à leur écosystème interstellaire et exigeraient légitimement une allégeance de l’homme à leur propre valeur-phare. Serait-elle meilleure que la nôtre ? Elle leur aurait en tous cas permis de survivre jusqu’à un stade plus avancé de milliers ou de millions d’années !
Un capitalisme prédateur.
Selon toute vraisemblance, un capitalisme porteur de violence ne permettra pas cette performance. L’homme devrait donc se préparer à accepter une allégeance cosmique, en se donnant par exemple une valeur-phare de survie qui lui permettrait de porter sa flamme de transcendance le plus loin possible dans l’univers.
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